S’assurer que la « ligne tracée » est praticable
Application : Suivi de l’occupation des voies et des itinéraires en « base arrière » (sorte de dépôts/gares de triage servant à trier et assembler les trains pour la construction/maintenance d’une ligne) ou de sites industriels
Solution :
- Les contrôleurs d’aiguille et les compteurs d’essieux sans fil de Vossloh, testés au Rail Open Lab de la SNCF avec son partenaire Scle Sfe, permettent de collecter des informations en direct sur le terrain et aident les opérateurs à définir les itinéraires des trains sur les gares de triage non automatisées.
- Actuellement, les données sont collectées via le réseau Lora, analysées et présentées aux opérateurs dans la « base arrière » sous forme d’informations numériques en direct, sur une tablette et une montre intelligente. En évitant les erreurs d’itinéraires et éventuellement des déraillements, cette solution permet de réduire les coûts à moyen terme.
- La solution comprend une batterie rechargeable et une fixation mécanique universelle pour tout type d’appareil de voie Vignole et ce, sans perforation du rail ou lame d’aiguille.
- Contrôle de la position de l’aiguillage
- Contrôle de l’occupation des voies
- Planification des itinéraires
Aide à la maintenance des infrastructures ferroviaires à Coutras
- Zone : 300 000 m² (1,5 km x 200 m)
- Fonctionnement : 22 voies de service + 2 tiroirs de manœuvre ; 200 manœuvres en moyenne
- Env. 8 000 essieux par jour (½ million par gare de triage)
- Vérification de la position et de l’adhérence d’environ 1 000 aiguillages par jour (environ 60 000 par gare de triage)
- Nombre d’itinéraires praticables côté Station 4 : ± 90
- Commande des aiguilles depuis un poste déportée (aiguilleur) et à pied d’œuvre (chef de manœuvre)
Premiers contrôleurs d’aiguille Paulvé connectés et sans fil pour la position de l’aiguillage et la détection de circulation/le comptage d’essieux
Informations en direct sur le tableau d’indication, une tablette et une montre intelligente
Mobilité verte
Si ces produits sont un jour certifiés SIL4 et acceptés dans le cadre des dépôts et des grandes lignes, ils pourraient réduire considérablement les coûts d’infrastructure (milliers de kilomètres de câbles et d’équipements de signalisation comme les relais, les armoires, etc.) et les ressources.